En dédicace

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on lundi, novembre 30, 2009


photo source

Vincent Delerm fera des rencontres-dédicaces dans quelques FNAC en France au mois de décembre : Lyon (Bellecour) le 2/12 à 17h30, Lille le 10/12 à 17h30, Marseille le 15/12 à 13h, Bordeaux le 17/12 à 13h, Toulouse (Wilson) le 18/12 à 13h.

Delerm, un vrai homme de scène.

Posted by chris | Posted in , , | Posted on lundi, novembre 30, 2009


Allez, on avoue. On est venu par curiosité et on est reparti emballé. Par le show de Vincent Delerm, samedi soir ...

au théâtre municipal. On s'attendait à un récital plutôt statique piano-voix. On a eu le droit à une soirée franchement drôle et surprenante.

La première surprise, c'est le décor. Énorme. Une vraie machinerie qui nécessite quatre hommes en permanence derrière le rideau. Une pin-up, une jambe en l'air, et mini-jupe bien sûr, est affalée sur un piano auquel s'installe Vincent Delerm qui démarre avec Tous les acteurs s'appellent Terence, premier titre de son 4e album Quinze chansons. Le fil conducteur de la soirée est donné. Honneur et hommage à l'univers visuel. Le cinéma, bien sûr, dont Vincent Delerm est un passionné, preuve s'il en faut avec ses références dans ses chansons à Fanny Ardant, Jean-Louis Trintignant... mais aussi les photos et les pubs plus que rétros. D'ailleurs, en guise d'entracte, le chanteur fait distribuer des Michoko pendant que défilent des pubs des années 70 et qu'est diffusée une interview radio délirante de Johnny Hallyday.

Paris-Béthune en 1 h 10 !

Tout au long du concert, défilent diverses projections, des mini films en noir et blanc, un peu façon Charlie Chaplin. Également de nombreuses interventions parlées : speech sur les aléas de la recherche de places au cinéma, commentaires sur un film avec son partenaire juste après le générique de fin... Vincent Delerm a aussi recours aux voix off et n'hésite pas à faire appel au public, qui ne demande évidemment pas mieux, pour faire les choeurs comme pour Le coeur des volleyeuses bat plus fort pour les volleyeurs ou le remplacer carrément sur Tes parents pour laquelle il propose ensuite une variante. Moment émouvant, le duo virtuel avec Alain Souchon sur L'amour en fuite et reprise attendue de son « tube » Les filles de 1973 ont 30 ans. Vincent Delerm ne fait chanter que les filles nées dans les années 70, puis 60, 50... 40. De plus en plus dur ! Puis seulement les garçons qui ont fabriqué des bracelets brésiliens, ceux qui pratiqué les suçons, ceux qui ont voté Cohn-Bendit aux Européennes (visiblement plus nombreux que les premiers !), et enfin ceux qui pensent qu'on peut faire Paris-Béthune en 1 h 10 (encore plus nombreux !).

Les fans, dont beaucoup de filles qui occupaient les premiers rangs, ne voulaient plus quitter leur idole et réclament rappel après rappel.

Touché, Vincent Delerm est même revenu après qu'une partie du public a quitté la salle. Les autres, les curieux, dont nous faisions partie, ont découvert un vrai homme de scène. Insoupçonnable à l'écoute de ses CD. Comme quoi, les spectacles, y'a pas mieux pour découvrir un artiste. • E. L. L.


Source : La voix du Nord

Jeanine

Posted by chris | Posted in , | Posted on dimanche, novembre 29, 2009


photo et texte Vincent Delerm

Où l’on fait la connaissance de Jeanine

“C’est Jeanine qui viendra vous prendre à la gare”.
Le message tombe vingt minutes avant l’arrivée du train. C’est toujours une personne différente, une personne “de la salle” qui vient nous attendre à la gare. Une personne qu’on ne connaît pas mais le texto du régisseur général donne l’impression que c’est une vieille tante de famille qui va se pointer. C’est Jeanine qui viendra vous prendre à la gare. Il faut traduire par : c’est Jeanine que nous avons rencontrée en arrivant à la salle, elle est sympa, vous ne la connaissez pas encore mais vous allez voir elle est sympa et du coup à travers nous qui l’avons rencontrée ce matin, c’est comme si vous la connaissiez déjà un peu. En conséquence de quoi il est possible d’écrire : c’est Jeanine qui viendra vous prendre à la gare.

Déroulement classique quand Jeanine vient nous prendre à la gare :

a - Jeanine attend dans le hall de la gare, nous arrivons nez en l’air avec valises et trompettes, guettant un visage qui pourrait s’éclairer en nous apercevant, donnant par là-même le signal “Jeanine c’est moi”.

b - Présentation + “ça va le voyage s’est bien passé ?”
Oui le voyage s’est toujours très bien passé, quand bien même il se serait passé de manière exécrable, cela ferait tellement frémir les gens qui nous accueillent de déceler un tempérament négatif dès la première phrase que du coup le voyage s’est toujours bien passé.

c - “Je suis garée là”. La personne qui vient nous chercher, souvent par peur du silence après avoir appris que le voyage s’était bien passé, a une petite tendance à lancer son “je suis garée là” un peu trop tôt, à un moment où il est encore totalement impossible de discerner le moindre véhicule car on est encore dans le hall. Elle tend donc la main qui tient les clés vers l’extérieur du hall en désignant une zone qui contient une quarantaine de véhicules, dont probablement, nous l’espérons bien de toute façon, celui de Jeanine.

d - “Je vous ouvre le coffre” : la personne nous ouvre le coffre.

e - Ibrahim et Nicolas s’assoient à l’arrière, je fais pour ma part face à ma responsabilité de chanteur programmé en milieu de saison culturelle en ne fuyant pas une place qui engendre la discussion : je monte à l’avant.

f - “Je vous emmène à la salle ou à l’hôtel ?”
On a beau s’attendre à la question, la réponse n’est jamais très claire.En gros avant 16h on opte pour l’hôtel et après 16h pour la salle. Mais on n’a pas encore eu le temps de répondre que déjà tombe un “c’est comme vous voulez, moi je vous emmène à la salle ou à l’hôtel, pour moi c’est pareil”. Soit. Il se trouve néanmoins, et c’est délicat à formuler, que notre hésitation ne provenait pas de la peur d’enquiquiner Jeanine avec une destination plus contraignante qu’une autre pour elle, mais bien égoïstement de faire le choix le plus adapté pour nous.

g - “De toute façon l’hôtel est juste à côté de la salle, ça se touche”.

Ah Jeanine…

Le fait d'habiter Bagnolet

Posted by chris | Posted in , , | Posted on jeudi, novembre 26, 2009


Un homme et une femme sont assis au restaurant l'un en face de l'autre pour la première fois. Nous serons témoins de leurs pensées, nous entrerons dans l'intimité de leurs consciences.



Le Fait d'habiter Bagnolet - Bande Annonce DVD Copat
envoyé par CopatSopat. - Découvrez plus de vidéos créatives.



Le dossier de presse de la pièce ICI





Le fait d'habiter Bagnolet est une pièce de théâtre écrite en 2001 par Vincent Delerm, jouée à Rouen puis à Paris.

Lorsque Vincent Delerm était étudiant à la faculté de Rouen, il écrivait les textes qu'il jouait. Il a rencontré Sophie Lecarpentier, metteur en scène, qui a voulu les lire, mais le chanteur n'en était pas très fier. Il accepta d'écrire autre chose, juste avant la sortie de son premier disque.

Cette pièce décrit les monologues intérieurs de deux personnes avant leur premier baiser.

Une version DVD de la pièce jouée au Théâtre du Rond-Point est éditée en 2005. Elle est mise en scène par Sophie Lecarpentier, et jouée par Frédéric Cherbœuf et Marie Payen.

La pièce est relativement bien accueillie par les critiques, notamment celles de Télérama, Les Échos et France Soir.

Vincent dans l'emission "7 jours avec elles"

Posted by chris | Posted in , , | Posted on jeudi, novembre 26, 2009









le blog

Vincent Delerm continue de faire son cinéma

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on jeudi, novembre 26, 2009


Peut-on dire que votre spectacle est plus cinématographique que jamais ?
>> Le dernier album (Quinze chansons, ndlr) était centré là-dessus. Sur la tournée précédente, j'avais peu joué les chansons de mon premier disque parce que j'étais dans un concept plus music-hall. Ici, c'était l'occasion de refaire des chansons comme Deauville sans Trintignant et donc de renouer avec un univers cinématographique.
Jacques Tati, Antoine Doisnel, François Truffaut, Woody Allen traversent le concert. Sont-ils vos références ?
>> Complètement. Je me suis dit que quitte à faire une sorte d'hommage au cinéma qui me fait rêver, autant être assez complet. Ce n'est pas gratuit, il faut que cela reste dans une logique qui intègre mes chansons.

Le visionnage du DVD permet d'avoir la tendance des chansons qui cartonnent : on pense notamment au « Monologue shakespearien », à « Fanny Ardant et moi »...
>> D'une manière générale, les chansons de mon premier disque existent souvent un peu plus facilement que les autres. Si les gens n'ont qu'un album de moi, c'est régulièrement le premier. Le monologue shakespearien bénéficie aussi d'une mise en scène plus spectaculaire que sur d'autres morceaux. Après, une chanson peut avoir un succès ou non selon son positionnement dans la set list.

Vous reprenez « L'amour en fuite » de Souchon. Un clin d'oeil à votre modèle ?
>> Alain Souchon, c'est mon idole.
Cette chanson m'a toujours fait de l'effet même si ce n'est pas mon film préféré de Truffaut (la chanson sert de générique de fin, ndlr).
Pourquoi avez-vous modifié les couplets de « Tes parents » ?
>> Ce n'est pas un texte très intellectuel, je me suis donc amusé à proposer une variante. Je ne ferais pas ça sur des chansons plus littéraires comme Châtenay-Malabry .
« Ce n'est pas vraiment
mon truc de chanter debout »
Qu'est-ce qui se passe dans votre tête pour écrire « Un tacle de Patrick Vieira n'est pas une truite en chocolat » ?
>> J'aime les titres à rallonge. Et puis, il y a déjà eu tellement de titres de chansons que parfois j'ai envie de faire le malin avec quelque chose de totalement décalé.

Votre performance est parfois proche de celle d'un acteu r.
>> Je ne sais pas ce que ça donnerait dans un domaine purement cinématographique. Mais la chanson permet de toucher à des choses de façon dilettante.
Vous sentez-vous désormais plus à l'aise quand vous chantez debout ?
>> Je préfère bien sûr être au piano.
Ce n'est pas vraiment mon truc de chanter debout, il faut que je trouve une position ou que je m'appuie sur un pupitre. Comme j'ai appris à chanter en étant assis au piano, c'est toujours plus difficile pour moi de faire autrement.

Pour accompagner le DVD, il y a un livre qui est un carnet de route de la tournée. Était-ce l'envie du moment ?
>> Quand je suis en tournée, je n'arrive pas à être dans la création d'autres chansons. Même s'il y a beaucoup de temps morts avec le concert, je suis quand même tendu vers l'énergie du soir. Là, je me suis dit que c'était l'occasion de retracer cette vie un peu spéciale. Les gens imaginent des choses qui sont loin de celles qu'on vit vraiment.
Dans les phrases d'après-concert que le public vous adresse régulièrement, vous retenez notamment celle-ci : « En fait, vous êtes drôle ». N'y a-t-il pas parfois un malentendu vous concernant ?
>> Cela a toujours été. Au début, je me disais que c'était de l'incompréhension et un peu de mauvaise foi aussi. À la télévision, je suis nettement moins à l'aise : vous ne faites qu'une seule chanson, un imitateur vient se foutre de votre gueule... Ce ne sont pas les meilleures conditions possibles et ce n'est pas trop mon univers. Je préfère installer les choses dans la durée. Les gens qui viennent au concert ont donc une image plus proche de ce que je suis dans la vie.

Vous écrivez aussi dans ce carnet : « Le public lillois, c'est un truc ».
>> Je n'ai pas fayoté beaucoup de publics dans le livre. Mais vous êtes un peu au courant, il se passe toujours quelque chose de particulier dans le Nord. Et c'est même encore plus fort sur cette tournée.


PROPOS RECUEILLIS PAR PATRICE DEMAILLY > patrice.demailly@nordeclair.fr
source ici

Coup de crayon

Posted by chris | Posted in , | Posted on samedi, novembre 21, 2009



Dessin trouvé sur le blog de Julie
.

Vincent Delerm chez Baffie sur Virgin 17

Posted by chris | Posted in , , | Posted on vendredi, novembre 20, 2009

Dans l’émission Baffie ! sur Virgin 17, Vincent Delerm est la cible des moqueries d’un auditeur concernant sa voix. Cependant, le chanteur a de la répartie et lui répond comme il se doit !





A voir ICI aussi .

source Mytivi.


L'emission de Baffie à revoir sur Virgin 17 Replay

Sortie du DVD live 2009 + infos

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on lundi, novembre 16, 2009

"23 janvier - 18 juillet 2009" : Le livre-DVD live de Vincent Delerm est disponible en magasins, en librairies, sur la boutique en ligne tot Ou tard (frais d'envoi en France offert à partir de 50 euros d'achat)

Le contenu : un livre de 144 pages avec photos et textes de tournée de Vincent Delerm + un DVD avec le concert enregistré au Bataclan en juillet 2009 et des bonus

Vincent Delerm fera des rencontres-dédicaces dans quelques FNAC en France aux mois de novembre et décembre : FNAC du Forum des Halles le 16 novembre à 17h30, Lyon (Bellecour) le 2/12 à 17h30, Lille le 10/12 à 17h30, Marseille le 15/12 à 13h, Bordeaux le 17/12 à 13h, Toulouse (Wilson) le 18/12 à 13h.


Vincent Delerm sera par ailleurs dans les émissions suivantes : "TPS Mag" sur TPS Star le 16 novembre, "Le fou du roi" sur France Inter le 1er décembre (invité plateau 2ème heure + 1 titre et 1 reprise), "On connaît la musique" sur Europe 1 le 12 décembre et "Le pont des artistes" sur France Inter pour une émission spéciale carte blanche le 19 décembre (enregistrement en public le 16 décembre).

info Tôt ou tard

le condor des Cevennes n'existe pas

Posted by chris | Posted in , | Posted on dimanche, novembre 15, 2009


Vincent Delerm en invité chez Laurent Baffie sur Europe 1 ce dimanche 15 11 2009

Baffie :Erreur zoologique: il n'y a pas de condor des Cevennes !

Delerm : C'est vrai , bravo, trés technique.

Qui était le fan qui a été appelé ???


en écoute ici

Delerm par Souchon

Posted by chris | Posted in , | Posted on vendredi, novembre 13, 2009


A la question : Delerm s'avoue votre héritier, le reconnaissez-vous ainsi ?
Alain Souchon répond: Vincent a toujours écrit des chansons qui me touchent, traitant de sujets qui comptent.Sous des allures amusantes souvent, poétiques, il y a quelque chose d'un peu caché, une mélancolie dont on parle peu, ce que j'ai toujours adoré avec sa voix et sa musique
; quelque chose de vrai. Mais parler d'influence, pas du tout...peut-être une sensibilité proche.
interview ici