Les dates de la tournée

Posted by chris | Posted in , , | Posted on lundi, novembre 28, 2011

Tournée

13 janvier 2012 Conflans (78) - Théâtre Simone Signoret
14 janvier 2012 Vernon (27) - Espace Philippe Auguste
16 janvier 2012 Bienne (Suisse)


17-18 janvier 2012 Genève (Suisse) - Salle communale d'Onex
19 janvier 2012 Le Locle (Suisse) - Casino Théâtre
03 février 2012 Bourgouin Jallieu (38)
04 février 2012 Massy (91) - Centre Paul Bailliart
14-15-16-17 février 2012 La Rochelle (17) - Théâtre Verdière
16 mars 2012 Roubaix (59) - Colisée


17 mars 2012 Béthune (62) - Théâtre de Béthune
06 avril 2012 Amiens (80) - Maison de la Culture

26 avril 2012 Bruxelles (Belgique)

L'humeur vagabonde de Delerm

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on lundi, novembre 28, 2011




en écoute en cliquant sur l'image

Vincent Delerm sur Culturebox

Posted by chris | Posted in , , , , , , | Posted on lundi, novembre 28, 2011


Vincent Delerm, chanteur pour parents bobo quarantenaires, s'empare de la politique par le biais d'un livre-album dédié aux enfants. "Léonard a une sensibilité de gauche" raconte de manière un peu décalée comment, dans la petite enfance, se déterminent les valeurs politiques. Des valeurs énoncées par la voix de Jean Rochefort pour le récit et celle de Vincent Delerm pour les chansons.




à voir aussi ici sur culturebox

Vincent sur Europe 1 chez Michiel Field

Posted by chris | Posted in , , | Posted on jeudi, novembre 24, 2011



En direct de l'hôtel Costes, au coeur du Tout Paris des spectacles, Michel Field reçoit ceux qui font l'actualité du théâtre, du cinéma, de l’art, de la littérature ou de la musique , et on l'écoute ici

Ses invités :
Vincent DELERM chanteur
Spectacle musical Memory de et avec Vincent Delerm, du 6 au 30 décembre à 21h au Théâtre des Bouffes du Nord.
Album photo Probablement, textes et photographies de Vincent Delerm illustrant la Foire Saint-Romain à Rouen, paru le 3 novembre aux éditions du Seuil.
Livre CD Léonard a une sensibilité de gauche, écrit, composé et chanté par Vincent Delerm, raconté par Baptiste Rebotier et Jean Rochefort, paru le 2 novembre chez Actes Sud.

Rencontre entre Pierre LAPOINTE et Vincent DELERM.

Posted by chris | Posted in , , | Posted on mardi, novembre 22, 2011




c'est en écoute ici


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Thé ou café

Posted by chris | Posted in , , , , | Posted on lundi, novembre 21, 2011

Vincent reprend une chanson d'Alain Souchon , ni up-tempo, ni gold :"J'étais pas là"


Probablement trop tard

Posted by chris | Posted in , , | Posted on dimanche, novembre 20, 2011







Carton d'invitation pour la sortie de livre "Probablement"

Vincent Delerm, rédac chef du Figaroscope

Posted by chris | Posted in , , , , , | Posted on vendredi, novembre 18, 2011

Vincent à la une de Télérama

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on mercredi, novembre 16, 2011




Interview où il y parle de son prochain spectacle, son livre de photo , le Cd "Léonard" , puis du rejet dont il a fait l'objet, de son écriture et de la chanson française.

« La photo est pour moi le moyen de retenir le temps, les moments, les détails. »

Vincent évoque son Paris intime

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on mardi, novembre 15, 2011


Palais Royal d'Alain Chamfort

J'étais au lycée en Normandie et j'entendais cette chanson qui évoque le début d'une histoire d'amour dans cette ville qui me semblait fantastique. C'était un ailleurs que j'avais envie de connaître.


Brouillard dans la rue Corvisart de Françoise Hardy et Jacques Dutronc

J'adore les atmosphères entre chien et loup. Cette chanson donne un climat très particulier. C'est très immédiat, ça prend en 20 secondes. De Bernay, dans l'Eure, où j'habitais, je m'imaginais les lumières des salles de billard, je rêvais de ce Paris-là.


C'est déjà ça, la balade bellevilloise d'Alain Souchon

Souchon, c'est mon idole ! Lorsque je me promène à Belleville, où j'habite depuis un an et demi, je chante immanquablement cette chanson. Je ne peux pas m'empêcher de fredonner les refrains des chansons qui évoquent la rue dans laquelle je marche.


Cette fille s'appelle demain fredonne Julien Baer à Saint-Germain-des-Près

Paris inspire l'amour. J'aime ce moment où l'on tombe amoureux, on est excité dans un premier temps, puis désabusé après, car à Paris, il est difficile de faire tenir un couple. Cette chanson le dit très bien. Pourtant, Saint-Germain ne m'attire pas du tout, je trouve que ce n'est pas un quartier vivant. Avec tous ces écrivains, c'est très consanguin.

Château Rouge de L.

Mon amoureuse habitait plus haut que Barbès quand je l'ai rencontrée. Je passais souvent par la station de métro Château-Rouge pour aller la voir. Il y a des mots qui ont un pouvoir d'évocation grâce à leur sonorité.

Rue Simon Bolivar de David McNeil

Mes parents étaient des profs parisiens mutés en Normandie. Leur enfance était pour moi associée à ces noms de rue. Avec eux, je venais le week-end rendre visite à ma grand-mère qui habitait au-dessus du square Carpeaux

Paris Capitale- Ménilmontant de Jean Sommer

Il y a des endroits de Paris qui inspirent. Selon les interprétations, l'ambiance est lyrique ou plus gaie. Jean Sommer a une vision plus mélancolique que Charles Trenet qui en fait un moment joyeux rythmé par l'accordéon avec Ménilmontant mais oui madame.

Quand j'étais petit, ­Philippe Chatel fréquentait la porte de Saint-Cloud

En rentrant de week-end chez ma grand-mère, on passait par la porte de Saint-Cloud. Cette chanson évoque le dimanche soir, le périphérique et ses lumières orange. Dans la voiture, on écoutait «Le Masque et la Plume» : on adorait !


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Léonard a une sensibilité de gauche

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on mardi, novembre 15, 2011


C'est sans doute parce qu'il est papa que Vincent Delerm peut avoir l'esprit à se lancer dans cette nouvelle aventure : composer une histoire pour les enfants. Le héros de son premier livre-CD est plus grand que son aîné. Léonard a dix ans. Il se pose beaucoup de questions et, à force d'entendre les adultes, il se demande notamment ce que veut dire « être de gauche », « être de droite ». Heureusement, Léonard a un « Grand-Pierre » qui va lui apprendre à démêler les fils bien fins qui font les différences… On en conclura, le titre le dit, que Léonard a une sensibilité de gauche ! C'est toute une équipe artistique d'excellence qui a été réunie pour ce joli livre-CD. Aux images, Blanca Gomez, une Madrilène imaginative qui aime les couleurs franches et les formes spirituelles. L'interprète est Vincent Delerm lui-même, bien sûr, mais il a le renfort de deux récitants d'élite : Jean Rochefort, avec sa voix gourmande, et Baptiste Rebotier dans la partition du jeune Léonard. D'autres jolies voix sont en appui : Albin de la Simone, Mathieu Boogaerts, J.-P. Nataf. Actes Sud Junior, Collection « Toto ou tartare » (23 €).
source

Vincent et les salles de spectacles

Posted by chris | Posted in , , , , | Posted on mardi, novembre 15, 2011


Le parcours commence à l'Européen, où Vincent Delerm se fit connaître, pour s'achever aux Bouffes du Nord, où il présente prochainement son nouveau spectacle, Memory. Entre ces deux salles, une poignée d'adresses comme autant de lieux fétiches des amateurs de concerts parisiens. Leur tracé épouse les contours de la ligne 2 du métro, d'est en ouest. Elevé à Rouen, Vincent Delerm a entendu parler de ces salles avant de pouvoir y assister à des spectacles, et, a fortiori, bien avant de s'y produire.

« J'avais vu des images télévisées d'Alain Chamfort et Steve Nieve à l'époque où ils jouaient à deux aux Bouffes du Nord. Le dernier train partait de la gare Saint-Lazare à 22h40, ce qui rendait impossible la fréquentation de concerts avant mon installation à Paris » explique-t-il.
« Je fantasmais littéralement sur la capitale. »
Avant de devenir auteur-compositeur-interprète, Vincent Delerm a étudié scrupuleusement la chanson française.
« J'aurais pu devenir journaliste, s'amuse-t-il. J'ai passé un temps fou à écouter les albums en public, afin de comprendre le rapport au public des chanteurs qui m'intéressaient. »

Une fois sur scène lui-même, Vincent Delerm a marqué le public par son aisance et sa faculté à installer un climat, notamment dans le dénuement du piano-voix. En évoquant ces lieux, Delerm revisite ainsi les dix premières années de sa carrière.
« Très tôt, je me suis dit « on verra dans dix ans », à force d'entendre des gens prédire que je disparaîtrais de la circulation au bout de deux ans. »

La Cigale, salle fétiche et lieu de mémoire

Dans le Panthéon personnel de Vincent Delerm, cette salle occupe une place tout à fait particulière. « Mon arrière-grand-mère y était ouvreuse à l'époque où c'était encore une salle de cinéma. Mon grand-père y a passé son enfance. Venir m'y voir chanter avait donc une résonance particulière pour lui. À une époque, le cirque Medrano était installé sur le trottoir d'en face. Les lions dormaient à l'extérieur, ce qui effrayait les passants ! » Parmi toutes les salles du quartier, celle-ci a sa préférence. « C'est la meilleure scène de Paris. Quand on y joue, on a le sentiment d'être proche du public : ça paraît tout petit alors qu'il y a tout de même 800 places. » Vincent y joue pour la première fois en septembre 2002, puis y revient régulièrement. « En 2004, j'y ai passé trois semaines, toujours en piano-voix. Je me remémore un concert que j'avais donné en étant quasi aphone. J'avais pris tant de cortisone que j'avais été complètement fermé toute la soirée. Certains spectateurs avaient envoyé leur billet pour se faire rembourser. » Vincent Delerm retrouvera la Cigale à la faveur des lancements de ses troisième et quatrième albums, pour deux semaines à chaque fois. Il s'y produira sans aucun doute à nouveau dans les années qui viennent. « C'est un endroit habité, qui correspond à mon goût pour le télescopage des époques. »


L'Élysée-Montmartre et le Trianon, en toute amitié

Ces deux salles quasi mitoyennes ont elles aussi été visitées par le chanteur. L'Élysée-Montmartre est désormais fermé, suite à l'incendie dont il fut victime l'an passé. Vincent Delerm eut l'occasion d'en fouler les planches, notamment lors d'un concert caritatif donné avec la complicité de la chanteuse Keren Ann. « Nous avions repris la chanson Tout doucement de Bibie, une mélodie qui va très bien à la voix de Keren Ann. Avec elle, j'avais aussi chanté Le Lundi au soleil de Claude François sur un plateau de télévision. » Quant au Trianon, qui constituait au siècle dernier un ensemble avec l'Élysée-Montmartre, c'est en compagnie de Mathieu Boogaerts que Vincent y a joué. « C'était à l'occasion de la dernière d'une de ses tournées. Avec quelques amis, dont M ou Albin de la Simone, on lui avait réservé une surprise : le rejoindre sur scène pour interpréter Ondulé à ses côtés. Je m'y suis également produit dans le cadre de la Nuit des musiciens, une soirée à laquelle participaient Dominique A et Irène Jacob. »

L'Européen, des débuts enchantés

Cette salle de la place de Clichy a abrité les premiers concerts de Vincent Delerm, en avril 2002, date de sortie de son premier album. Tous les soirs pendant quatre semaines, il y partagea la scène avec Jeanne Cherhal. « Ce truc m'a transformé ! J'avais l'impression d'être passé dans une machine. Au début, personne ne me connaissait. En sortant, tout le monde avait un avis sur ce que je faisais », se souvient-il. « Jouer ici, c'était un peu un rêve. J'y avais vu un spectacle de Jean-Jacques Vannier intitulé L'Envol du pingouin, ainsi qu'un concert de Julien Clerc. » Seul au piano, Delerm impose alors sa personnalité et son humour. « Avant les dates, je me disais “Pourvu qu'il n'y ait pas un autre mec seul au piano avec une chemise noire qui se produise à Paris !”» La trouvaille de Delerm fut l'utilisation d'une voix off préenregistrée diffusant des messages comme « Merci beaucoup d'être ici » ou « C'est un endroit qui représente beaucoup pour moi », manière de désamorcer le rituel du music-hall. Ces concerts parisiens furent suivis d'une série de prestations dans le reste de la France, qui confirmèrent l'émergence d'une personnalité avec laquelle il faudrait désormais compter.

Les Bouffes du Nord, l'écrin idéal

Son spectacle, entre concert et théâtre, a été créé dans cette salle atypique, qui marque une nouvelle étape dans le parcours de Vincent Delerm. Pour autant, Memory ne marque pas sa première incursion aux Bouffes du Nord. Après y avoir donné plusieurs concerts, il fut invité l'an passé à y animer la présentation de la saison. « Macha Makeïeff, qui y assistait, m'a contacté par la suite pour envisager un projet. » Avec elle, il envisage d'effectuer son retour sur scène sans passer par le traditionnel circuit « album-promotion-tournée » et ce, pour la première fois de sa carrière. « Je n'avais, cette fois, pas envie de refaire un disque. Mes nouvelles chansons ont été conçues dans le cadre de cette création. » Entre théâtre, cinéma et concert, Memory évoque notre difficulté à vivre le présent. « Il était cohérent de présenter cela dans cette salle », explique-t-il. « J'ai assisté à des concerts très forts de Têtes Raides ici, ainsi qu'à une belle mise en scène de La Mouette, de Tchekhov, avec Irène Jacob. C'est un endroit étonnant, où la scène est de plain-pied. On y éprouve une sensation très différente des théâtres à l'italienne traditionnels. » La première fois que Vincent Delerm y a donné des concerts, c'était avec des musiciens. « On avait fait une semaine avec Cyril Vanberghe, un quatuor à cordes et un contrebassiste. C'était comme un test, après des années passées seul sur scène. » Et si le théâtre des Bouffes du Nord était, pour Vincent Delerm, l'écrin idéal où expérimenter de nouvelles formes artistiques ?

source ici

Vincent Delerm, rédacteur en chef du Figaroscope

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on mardi, novembre 15, 2011


«Au tour de mon horizon» par Vincent Delerm

Il n'est de pires Parisiens que les provinciaux ! J'ai souvent pensé cela à la sortie de mon premier album, il y a dix ans. Je n'avais alors en effet pratiquement jamais vécu à Paris, et ce disque ne parlait que de cette ville. Un Paris fantasmé, espéré. S'en sont suivis certains malentendus et, notamment, celui de me faire parler régulièrement de mes bonnes adresses dans la capitale, alors que je n'en connaissais que très peu… Puis ces demandes se sont espacées, tandis que, paradoxalement, je me familiarisais avec cette ville dans laquelle, entre-temps, j'avais fini par m'installer. J'avoue n'avoir longtemps maîtrisé de Paris que les horaires de rétrospectives Jacques Tati rue Champollion, les dates de concert de The Divine Comedy à la Cigale, les adresses de librairies passage Jouffroy. J'habitais Rouen et, à une heure de train, il y avait en sortant de Saint-Lazare cette ville de spectacle, de livre, de cinéma permanent. C'est la raison pour laquelle j'étais très heureux qu'on me propose aujourd'hui de faire un petit tour d'horizon de tous ces domaines, qui m'ont finalement mené jusqu'à cette ville. Adolescent, un cousin chanteur m'avait parlé de l'ultramoderne solitude que l'on peut y trouver. La chanson commençait par «Ça se passe boulevard Haussmann à cinq heures…». Merci, journal du 14, boulevard Haussmann !

source ici


Vincent parle du spectacle

Posted by chris | Posted in , , | Posted on mardi, novembre 15, 2011


«Je n'ai jamais eu le sentiment d'être très loin du théâtre en composant mes chansons. En dix ans, j'ai signé quatre disques, j'ai fait quatre tournées : le spectacle était constitué de 1 h 20 de musique et de chansons et de 20 minutes d'autre chose. Du jeu, de l'interprétation, un personnage.

Avec Memory , je vais plus loin. Il s'agit de vraiment théâtre, mais la musique, les images, la chanson y ont une place essentielle. J'admire Jean­Baptiste et Victoria Thierrée et leur Cirque ­invisible , car toutes les formes de la représentation sont convoquées et l'on va du rire à l'émotion, de la prouesse à la simplicité, d'un même mouvement.

C'est ce dont je rêve pour Memory. Au départ, Olivier Poubelle m'avait demandé de brèves interventions lors de la présentation de saison des Bouffes du Nord, dont il est codirecteur avec Olivier Mantéi. Je m'étais amusé… et cela nous a conduits à ce projet, sous le regard et les conseils de Macha Makeïeff, présente ce jour-là !

Si l'on peut définir un argument, ce serait le chemin de Simon, un homme qui se pose des questions sur le temps qui passe, sur le sens de sa vie. J'interprète Simon, accompagné d'un musicien multi-instrumentiste, Nicolas Mathuriau. J'ai un piano droit, moins imposant que ceux de mes concerts, et je joue et chante une dizaine de chansons, toutes inédites. Je suis loin d'être seul dans cette aventure qui me plaît… En prologue, on entend la voix de Woody Allen qui a accepté d'enregistrer un texte pour le spectacle et, en ouverture, Olivier Broche passe à la radio… Ensuite, on passe dans la ville, figurée en décor léger et dans les lumières de Nicolas Maisonneuve.

Il y a beaucoup d'images dans ce spectacle et notamment des films familiaux, anonymes, en super-huit, que j'ai achetés. On danse, on chante au cœur de fêtes, mariages, communions. Moi, j'ai filmé des fêtes foraines… C'est la vie, notre “mémoire” commune qui passe, pour moi, par Avec le temps de Léo Ferré… »

« Le théâtre a toujours été présent dans ma vie. Nombre de mes amis sont comédiens, metteurs en scène et, dans tous mes spectacles de chanson, le théâtre a eu sa part. J'ai joué une première pièce que j'avais écrite, intitulée Enfin toujours est-il que voilà, en 1997. C'était très confidentiel ! Sept ans plus tard, Sophie Lecarpentier a mis en scène au Rond-Point Le Fait d'habiter Bagnolet. C'est Marie Payen et Frédéric Cherboeuf qui jouaient… avec Sébastien Trouvé, bruiteur. »

Vincent Masterchef

Posted by chris | Posted in , , | Posted on mardi, novembre 15, 2011


Pas vraiment passionné par la chose culinaire, Vincent ­Delerm a un rapport distancié à la nourriture. Ce qui n'exclut pas quelques aveux déroutants sur ses bons et mauvais goûts.

La gastronomie, ce n'est pas votre truc ?

C'est vrai, j'ai tendance à penser comme François Truffaut que c'est une perte de temps. Je n'aime pas les repas qui s'éternisent, je déteste l'idée du grand service, de quelqu'un penché sur votre épaule tout le temps d'un déjeuner. Il y a dans le restaurant un mélange de contrainte, de compétition et d'envie de faire plaisir qui ne vont pas ensemble. Tout cela me semble bien excessif. J'ai d'ailleurs beaucoup de mal à m'extasier sur des plats, à dire qu'un poulet est une « tuerie », des mots comme ça…


Quels sont vos endroits préférés ?

Comme je suis provincial, j'ai beaucoup fantasmé Paris à travers ses cafés, ses brasseries de quartier. En arrivant, j'ai voulu voir certains lieux qui appartiennent à sa mythologie. Le Café de la Mairie (place Saint-Sulpice) par exemple, à cause du film La Discrète. ­Sinon, j'aime les cafés comme celui-ci (La Sardine, place Sainte-Marthe, NDLR), où je peux écrire tranquillement l'après-midi, à partir de 14 h 30-15 heures. J'ai vécu aussi du côté de Cadet et je vais encore au Corso, place Franz-Liszt (Xe). Tout a changé depuis, mais il reste un serveur à l'ancienne qui a fait du music-hall autrefois et a plein de choses à raconter. J'aime les conversations qui s'initient quand les restaurants se ­vident.


Vos plats favoris ?

Le couscous, le saucisson chaud aussi. Attention, le stéphanois, pas le lyonnais qui est trop détrempé. Je sais, ce n'est pas hyperdiététique, mais bon… J'adore aussi les crêpes, enfin tout ce qui peut mener à ma perte ! Je garde également un souvenir ému de la flammekueche et des Daim, qui me rappellent les vacances en Suède avec mes parents. Sinon, je suis assez fromage : rien ne m'apaise plus qu'une bûche de chèvre en cas de stress.


Il vous arrive de faire la cuisine ?

Absolument. Du riz au thon avec du Kiri dedans. J'aime bien aussi donner des vitamines à mes enfants, leur préparer des smoothies avec plein d'oranges, de pamplemousses et de citrons. J'ai alors l'impression de faire quelque chose de bien pour ma famille.


On s'est tout dit ?

Encore une chose : je sens que les biscuits à apéritif n'évoluent plus. Depuis les Pringles, ça stagne. Et c'est dommage.

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A peu prés tout

Posted by chris | Posted in | Posted on jeudi, novembre 10, 2011

Interview de Vincent Delerm pour la sortie de son livre de photos

Posted by chris | Posted in , , | Posted on mercredi, novembre 09, 2011

Qu'est-ce que vous évoque la foire Saint-Romain?
Vincent Delerm: «C'est large. J'y suis allé un peu à tous les âges de ma vie. Enfant, quand mes parents étaient au Festival du livre jeunesse. Etudiant, avec les copains. Et encore maintenant. Il y a toujours cette lumière du mois de novembre.»

Quand avez-vous pris ces photos?
«L'an dernier. Elles font partie d'une série, que j'ai faite en deux heures, juste avant que les manèges ne s'animent. J'aime cette symbolique du spectacle, le moment où ça ouvre. On voit la préparation, l'envers du décor. Ce n'est pas toujours glamour.»

Tous vos clichés sont accompagnés d'une phrase qui commence par Probablement. Pourquoi?
«Parce que ce sont des moments où l'on essaie d'imaginer ce qu'il va y avoir plus tard, quand il y aura beaucoup d'ambiance. Certains trucs me sont venus en voyant la photo, en sentant la vie qu'il y a derrière.»

Cet ouvrage, c'est un livre de souvenirs pour vous?
«C'est juste suggéré. A aucun moment je ne dis «je». Je reste neutre, détaché. Cela donne parfois des choses mélancoliques.»

Sur l'une des photos, on voit les banderoles contre le déménagement de la Saint-Romain. Un avis?
«Ça n'a pas de sens de la mettre ailleurs. On traverse le pont et la foire est là, c'est comme ça. Les reflets dans l'eau font aussi partie de l'ambiance de la Saint-Romain.»

Vous avez montré votre livre aux forains?
«Non… Et je n'en ai pas spécialement envie. Ce n'est pas forcément l'image qu'ils ont de leur manège. Je veux pouvoir continuer à me balader à la foire comme je veux!»

Dédicace de Vincent Delerm demain jeudi à 18 heures à la librairie L'Armitière, 88 rue Jeanne-d'Arc.

Vincent Delerm, un artiste aux multiples talents

Posted by chris | Posted in , , , , | Posted on mercredi, novembre 09, 2011





Sur France 24 ici


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Vincent Delerm sur RFI

Posted by chris | Posted in , , | Posted on dimanche, novembre 06, 2011



On peut réecouter Vincent Delerm sur RFI sur leur site ici



il reprend
Georges Moustaki « Il est trop tard »
Alain Souchon, « Rien ne vaut la vie »,
il interpréte aussi sa chanson « La vipère du Gabon ».

Fête foraine

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on mercredi, novembre 02, 2011




« Foire Saint-Romain. Quais de la Seine à Rouen. Une après-midi de novembre.Certains stands déjà ouverts, d’autres pas encore. Allées désertes.C’est le moment pour repenser à toutes les foires Saint-Romain traversées, au fil des ans.Le moment pour imaginer ce qu’est la vie de ces hommes et femmes, perpétuellement, obligatoirement, entourés de ce décor de fête triste.Un bon endroit pour se dire « probablement ».Comme un prétexte pour quelqu’un qui aime autant imaginer la vie des autres, la deviner, que la « savoir ».Pour quelqu’un qui préfère le probable au certain. »
V.D.




sortie demain 03 novembre 2010

Dédicaces

Posted by chris | Posted in | Posted on mercredi, novembre 02, 2011



Vincent Delerm fera deux rencontres dédicaces au mois de novembre pour ses livres "Léonard a une sensibilité de gauche" et "Probablement" :

l'une à la librairie "L'arbre à lettres" à Paris Bastille le vendredi 4 novembre à 18h30

et l'autre à la librairie L'armitière à Rouen le jeudi 10 novembre à 18h.

Passage radio et TV

Posted by chris | Posted in , , , | Posted on mercredi, novembre 02, 2011



Vous pourrez retrouver Vincent Delerm dans les émissions suivantes :

"Le choix de Yves Calvi" sur RTL le 3 novembre en direct à 8h15,

"La Bande Passante" sur RFI le 5 novembre entre 15h et 17h,

"Le pont des artistes" invité par Ibrahim Maalouf sur France Inter le 5 novembre à 20h,

"Le Journal de la Culture" sur France 24 le 7/11,

"Pas la peine de crier" sur France Culture le 8/11,

"Quand la musique donne" présentée par Didier Varrod sur france Inter le 11/11,

"Thé ou Café sur France 2 le 12/11,

"Rendez-vous à l'hôtel" présenté par Michel Field sur Europe 1 le 23/11,

"Un après midi à Paris" sur France Bleu le 24/11,

"l'humeur vagabonde" sur France Inter le 24/11 de 20h à 21h,

"Les Affranchis" sur France Inter le 12/12 en direct entre 11h30 et 12h,

"Faites entrer l'invité" de Michel Drucker la semaine du 12 décembre sur Europe 1.

Probablement

Posted by chris | Posted in , , | Posted on mercredi, novembre 02, 2011



Vincent Delerm sortira enfin un livre de photos et de textes intitulé "Probablement" le 3 novembre aux Editions du Seuil.






Memory

Posted by chris | Posted in , , | Posted on mercredi, novembre 02, 2011



Vincent Delerm sera également à l'affiche d'un spectacle théâtral et musical, "Memory", créé et joué au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris du 6 au 30 décembre 2011 (relâche exceptionnelle le 24/12) : réservez vos places ici. Le spectacle sera ensuite en tournée à partir de janvier 2012.
"Memory" est écrit et mis en scène par Vincent Delerm avec la complicité artistique de Macha Makeïeff et parle de notre rapport au temps, aux âges de la vie et à la disparition.
Pour réécouter l'émission "L'atelier" de Vincent Josse diffusée sur France Inter le 8/10 dernier : cliquez ici.


soure tot ou tard